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Ce 22 juillet marquait le 3e anniversaire de la disparition, très certainement forcée, du journaliste Jean Bigirimana. Toujours sans nouvelles, sa famille et ses collègues craignent le pire en ce qui le concerne.

Depuis l’annonce du président du Burundi à un troisième mandat en avril 2015, le Burundi est plongé dans une crise qui a conduit à une intensification alarmante des actes de répression et des violations des droits humains dans le pays.

Jean n’est que l’une des nombreuses victimes de cette répression sanglante qui vise principalement les défenseurs de droits humains et les journalistes. Outre les disparitions forcées, de nombreuses personnes ont été exécutées, torturées ou encore arrêtées arbitrairement.

Dans le cas de Jean, comme dans beaucoup d’autres, le gouvernement ferme les yeux. Pire, il encourage l’impunité sur ces crimes en faussant les enquêtes au niveau national et en faisant obstacle aux enquêtes internationales.

Les défenseurs de droits humains doivent être libérés. Les ONG doivent pouvoir mener leurs activités sans encombre. Et par dessus tout, il faut mettre fin au règne de l’impunité. Interpellez le président burundais dès maintenant.

JE SIGNE

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