C’est le titre de l’éditorial dans De Standard du 19 mars 2020. Bart Sturtewagen termine cet éditorial en déclarant : « Les stratégies qui déterminent comment ce fardeau sera réparti entre les différents acteurs économiques doivent maintenant être écrites. Sinon, ce seront à nouveau les prestataires, les travailleurs et les petits entrepreneurs qui vont payer, tandis que les « intouchables» financiers se moqueront à nouveau d’eux.
La crise du Corona est aujourd’hui la plus grave, mais en arrière-plan d’autres crises continuent de proliférer comme la pauvreté, la crise du logement, le réchauffement climatique, etc. Pour faire face à toutes ces crises, des ressources considérables sont nécessaires. Comme nous l’écrivions dans notre article: "Le tabou des impôts et des cotisations sociales" du 9 février dernier . https://www.lef-online.be/index.php/20404-le-tabou-des-impots-et-des-cotisations-sociales
Il est grand temps de rappeler à l’ordre nos représentants!