Il n’y a que les capitaux qui circulent aussi librement que les virus, plus librement même, car malgré les catastrophes économiques et sociales que leur circulation sans contrainte provoque – les citoyens sauveurs des banques privées à la suite de la crise financière de 2007/2008 s’en souviennent même si leurs gouvernants se gardent bien de leur rappeler que ce sont eux les sauveurs de la finance folle – les pouvoirs en place ne prennent aucune mesure suffisante pour réguler sérieusement leur circulation et les pratiques de leurs détenteurs ! L’évasion fiscale, par les ravages qu’elle provoque sur la planète entière, dans les pays en voie de développement et dans les pays développés, ne résisterait pas longtemps à la colère des citoyens ordinaires si les médias mainstream en parlaient comme d’un mal à éradiquer, très certainement plus simple à vaincre que la dernière pandémie toujours en cours, à partir du moment où la volonté politique existerait. Il est vrai que l’addiction à l’argent est un mal pour lequel les Big Pharma[1] n’ont pas trouvé d’antidote, ce qui permet aux Big Four[2] de s’en donner à cœur joie dans l’organisation de sa pratique et de sa propagation.
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