Environ 150.000 personnes vivent et travaillent sans papiers dans la clandestinité, parfois depuis de nombreuses années. Au printemps dernier, un large mouvement de mobilisation citoyenne a décidé de les soutenir en exigeant une régularisation massive des sans-papiers, ou a minima des critères clairs pour régulariser leur situation. Il a fallu attendre que les 400 grévistes de la faim soient sur le point de mourir pour que le ministre en charge du dossier fasse une proposition pour tendre vers une régularisation au cas par cas de certains d’entre eux. Le combat est loin d’être gagné…
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