Le texte qui suit est l’expression d’une colère. Colère ressentie à la lecture d’une interview de Monsieur Lorenzo Stefani, porte-parole de Touring1, dont les propos semblent refléter davantage le souci de défendre l’industrie automobile que de protéger les intérêts de celles et ceux qui font usage des produits que vend cette industrie.
Dans un dossier consacré à la vitesse sur la route, Le Vif interrogeait récemment Benoît Godart, porte-parole de Vias (ex-IBSR) et Lorenzo Stefani, porte-parole de Touring. Les propos du premier, raisonnables, documentés, sont révélateurs d’une réelle expertise et d’une volonté claire de soulager la souffrance induite par l’insécurité routière. Rien de tel dans le discours du second qui donne malheureusement raison à Monsieur Godart lorsque celui-ci déplore que « la vitesse est encore l’objet d’une perception sociale beaucoup trop positive ». De ce fait, l’interview de monsieur Stefani mérite toute notre attention. Penchons-nous donc sur quelques passages éclairants.
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