Les campagnes publicitaires orchestrées par les industriels du numérique et des télécoms, largement relayées par les médias, présentent la 5G comme la suite logique des 2, 3, et 4G. Tout se passe comme si nous avions tout à y gagner... Tout, c’est-à-dire la vitesse !
Or, il s’avère, au contraire, que nous aurions tout à y perdre : santé, libertés, biodiversité,... La 5G est aux antipodes des choix que nous devons opérer pour la sauvegarde du vivant à l’échelle planétaire.
La 5G condense à elle seule les enjeux sociétaux auxquels les programmes politiques DOIVENT répondre aujourd’hui : épuisement des ressources (extractivisme), pollutions (des eaux, des sols, de l’air, de l’espace), consommation énergétique (comment le numérique bouffe de l’énergie et comment cette énergie est produite), exploitation de l’humain (conditions de travail des hommes et des femmes qui œuvrent loin de nous à notre transition numérique), géostratégique (conflits, guerres), effondrement de la biodiversité, mutation du travail et de l’emploi, privatisation des communs, restriction des libertés individuelles,...
La 5G est, en fait, une technologie de rupture qui augure le basculement de l’humain dans l’hyper-connexion permanente avec des objets, des lieux, des machines, des animaux,... Pour ce faire, la 5G utilise un nouveau type d’ondes, des ondes millimétriques, et un déploiement spatial via le lancement de milliers de satellites.
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