Koopkrachtplakkaat

EnergieplakkaatC

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1100 millards d’euros. C’est la somme injectée par la Banque centrale européenne (BCE) depuis le début de la pandémie pour maintenir les bourses à flots. Une partie significative de ce montant alimente des entreprises fossiles (charbon, pétrole, gaz) et d’autres gros pollueurs. La BNB, filiale belge de la BCE, a aussi soutenu l’industrie fossile.

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En fait, on déshabille Paul pour habiller Jacques : en tentant d’amoindrir le choc de la COVID-19, les banques centrales empirent la crise climatique.

Au lieu d’aggraver le problème actuel par ces dépenses exceptionnelles, la BCE aurait pu faire d’une pierre deux coups et orienter ce millier de milliards vers le financement d’une transition sociale et écologique, organiser la relance économique par des investissements pour une économie décarbonée.

Certains Etats membres ainsi que des membres de la direction de la BCE en sont conscients et plaident pour une politique plus ambitieuse. D’autres, parmi lesquels la BNB, freinent des deux pieds et semblent privilégier les intérêts de l’industrie fossile par rapport au climat.

Exigeons un changement de cap de la BNB
Si la pandémie est dévastatrice, la gestion de cette crise nous offre une opportunité inédite d’accélérer le changement vers un développement plus humain, plus juste et plus écologique. La Banque nationale ne devrait pas freiner ce mouvement.

Nous exigeons que la Banque nationale cesse de s’opposer à la prise en compte du climat dans sa politique et plaide au sein de la BCE pour le financement d’une transition juste.

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