Le dilemme se pose depuis dimanche 23 avril : le fascisme ou le néolibéralisme. Et en définitive, il n'y a pas grande différence : instauration d'un « pouvoir fort », régression sociale, démantèlement de l'économie, carcan d'une pensée unique, etc. Nous vivons en réalité le choc de deux extrémismes.
Le lecteur voudra bien trouver un article signé de Aude Lancelin, la journaliste virée de l'hebdo de la gauche bobo parisienne, l'Obs, pour des raisons idéologiques. Elle a en plus le tort d'être la compagne de Frédéric Lordon, l'économiste de gauche qui a mené le mouvement « Nuit debout » lors de la contestation de la loi « travail » dite loi El Khomri qui a démantelé le Code du Travail français.
Le premier tour des élections présidentielles françaises est enfin terminé après une campagne bien trop longue et totalement irrationnelle. Les coups bas, les rebondissements bien préparés, les « gaffes » programmées, les postures diverses, les discours creux ont émaillé cette danse de Saint-Guy de onze candidats dont il faut bien dire qu'à une ou deux exceptions, aucun n'avait l'envergure élyséenne. N'est pas de Gaulle ou Mitterrand qui veut !
This Investigation Report of the Investigations Division of the United Nations Office of Internal Oversight Services is provided upon your request pursuant to paragraph 1(c) of General Assembly resolution A/RES/59/272. The Report has been redacted in part pursuant to paragraph 2 of this resolution to protect confidential and sensitive information. OIOS' transmission of this Report does not constitute its publication. OIOS does not bear any responsibility for any further dissemination of the Report.
« Pourquoi maintenant que tu es au pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais promis ? Il me répondit qu'il n'avait pas le pouvoir d'affronter la banque mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme. Qu'il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir. J'appris ainsi qu'être le gouvernement, être le président ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes au capitalisme. »
Het nieuwe boek van Philippe Van Parijs en Yannick Vanderborght 'Basic Income: A Radical Proposal for a Free Society and a Sane Economy, is wellicht het meest volledige en overzichtelijke wat ooit is verschenen over het basisinkomen (BI). Het is degelijk werk waarin nagenoeg alle voor en tegenargumenten aan bod komen. En tegelijk, ook alle zwakke punten in de redenering ...
Het meest onthutsende aan het jongste boek van Luc Vankrunkelsven – hoopvol 'Oases - Grond-kracht voor een nieuwe lente' gedoopt – zit niet in het boek zelf maar in een bijhorende folder, getiteld 'Red de Cerrado in Brazilië' ! Op het vouwblad staan twee kaartjes. De ene toont in het groen de oppervlakte van de Cerrado in 1960.
À défaut d'autorité, les hommes politiques en vue pratiquent l'autoritarisme. Cette tendance ne fait d'ailleurs que s'accroître et ce, au détriment des institutions démocratiques.
Les détenteurs du pouvoir ont de plus en plus tendance à dribbler les institutions chargée du contrôle de la légalité, de la régularité, de la fiscalité.
À défaut d'autorité, les hommes politiques en vue pratiquent l'autoritarisme. Cette tendance ne fait d'ailleurs que s'accroître et ce, au détriment des institutions démocratiques.
Les détenteurs du pouvoir ont de plus en plus tendance à dribbler les institutions chargée du contrôle de la légalité, de la régularité, de la fiscalité.
Pendant des décennies, les idéologues libéraux ont célébré la mondialisation capitaliste. Elle allait résoudre tous les problèmes, générer la prospérité. De nos jours, le désenchantement est tel que, par un violent effet de ressac, les masses populaires sont tentées par un retour aux vieilles illusions nationalistes, à l'instigation des forces d'extrême-droite adeptes du "Chacun chez soi, chacun pour soi".